vendredi 10 juillet 2015

VIDEO SOBRE EXPLOTACIÓN MINERA EN EL SUR DE PERÚ Y EL VALLE DE TAMBO/ VIDÉO SUR EXPLOITATION MINIÈRE AU SUD DU PÉROU ET LA VALLÉE DU TAMBO


VIDEO:

EXPLOTACIÓN MINERA EN EL SUR DE PERÚ: MEDIO SIGLO DE LUCHAS CONTRA LA DESCTRUCCIÓN

Video difundido por primera vez en la velada de solidaridad "Tia Maria no va", el pasado 3 de julio, en el Centro social L'Attiéké en Saint-Denis (Francia), contra el extractivismo minero a ultranza.
Material audiovisual libre de difusión séleccionado y reunido por el Colectivo de Peruanos en Francia con fines informativos.
Traducción y montage: Palante BBK.
Difundido en Internet y las Redes por: Akye BBoyKonsian-Première Ligne.

PS. El Colectivo agradece a los jóvenes amigos orgnanizadores de esta velada solidaria y al Centro L'Attiéké por la acogida.





EXPLOITATION MINIÈRE AU SUD DU PÉROU: DEMI-SIÈCLE DE LUTTES CONTRE LA DESTRUCTION



Vidéo diffusé pour la première fois lors de la Soirée de solidarité "Tia Maria no va", le 03 juillet dernier au au centre social L’Attiéké à Saint-Denis (France), contre l’extractivisme minier à outrance.
Matériel audiovisuel libre de diffusion sélectionné et rassemblé par le Collectif des Péruviens de France à des fins informatives.
Traduction et montage: Palante BBK.
Difusé sur Internet et les Réseau par: Akye BBoyKonsian-Première Ligne.

PD. Le Collectif rémercie aux jeunes amis organisateurs de la soirée solidaire et au Centre L'Attiéké pour l'accueil.

mercredi 1 juillet 2015

Le cœur chaud, avec le peuple grec disons NON au diktat rétrograde et antisocial des banques






COLLECTIF DE PÉRUVIENS EN FRANCE 


Le cœur chaud, avec le peuple grec disons NON au diktat rétrograde et antisocial des banques


C'EST PAS LES GRECS, C'EST PAS LES IMMIGRANTS; C'EST LES CAPITALISTES QUI COÛTENT CHER!


Il y a cinq mois, au lendemain du triomphe de Syriza en Grèce, un vent frais se levait tendant à balayer l’Europe des finances. L’avance de Podemos de la gauche en Espagne corrobore la levée de ce vent frais. Depuis 5 jours, ave courage, le gouvernement Syriza a entamé une épreuve de force entre la démocratie et l’arbitraire des puissances financières au Union européenne. Le premier ministre grecque vient de faire appel a son peuple a se prononcer dimanche prochain, par référendum, s’il accepte ou refuse les mémorandums d’austérité dictés par Berlin et Bruxelles.


Rappelons-nous un peu du passé pour obtenir quelques lumières. La Grèce vit au sein de l’Union européenne la comédie de ce que Cuba avait vécu au sein du continent américain il y a 55 ans. Alors, quand des jeunes réformistes et démocrates cubains arrivés au pouvoir par la guérilla contre un dictateur ont commencé a appliquer des mesures qui bannissaient la surexploitation et l’opprobre imposé par les transnationales états-uniennes, l’empire du nord -qui maintient encore une politique d’apartheid envers les afro-descendants et de ghettoïsation des peuples originaires- commença ses essaies pour abattre le nouveau régime cubain. En utilisant des moyens illégitimes il obtiendra « l’exclusion » de Cuba du sein de l’Organisation des États Américains (OEA) : la figure de l’exclusion n’existait pas dans la charte constitutive de l’OEA ; la plus haute instance de celle-ci (l’Assemblée générale) n’était pas réunie pour décider sur une question si grave. Malheureusement à ce moment, comme le disait Fidel, et sans rougir de honte, la plupart des gouvernements latino-américains s’étaient conduits comme des « ambassades » états-uniennes.

C’est précisément ce qui vient de se passer ces derniers jours, mais avec le plus grand ridicule, au sein de l’union-européenne, contre la Grèce. Comme le gouvernement grecque demandait l’application de critères solidaires, de plus longue échéance et de respect de la souveraineté des peuples pour faire face à la crise grecque, les ministres de finances de 18 pays union-européens ont exclu de facto la Grèce et décidé,  par communiqué, de mettre fin le 30 juin au plan d’aide financière au pays méditerranéen.

Si le 22 janvier 1962 la représentation diplomatique de Cuba était présente lors de « l’exclusion » de son pays, en le 28 juin l’euro-groupe avait décidé de tenir session sans la présence du ministre grecque. Si des raisons militaires et diplomatiques imposaient l’exclusion de Cuba en 1962, ce par des intérêts purement financiers  que l’Allemagne conquérante impose à d’autres pays européens les sanctions contre le peuple grec.

La Grèce a raison de répondre avec la démocratie à cet ultimatum des finances ; référendum versus mémorandums d’austérité.

Pour stopper les finances et l’austérité et imposer une justice sociale, nous tous devons soutenir le courage du peuple grec et de son gouvernement progressiste. Dans cet esprit, le Collectif de Péruviens en France appelle à se mobiliser en faveur de la Grèce. Il s'est joint aux Unions régionales CGT - FO - FSU et Solidaires en appelant, toutes et tous, à participer à la manifestation de soutien au peuple grec et au respect de sa souveraineté le jeudi 2 juillet.



C'EST PAS LES GRECS, C'EST PAS LES IMMIGRANTS; C'EST LES CAPITALISTES QUI COÛTENT CHER!

Paris, 2 juillet 2015